Un amour au creux de mon éspoir

Au delà de la nuit éclairé par la lune, au delà du calme et du bonheur, il y a moi Aiko.
Ce qui va suivre est ma vie, je ne vais pas vous raconter la première fois que j’ai marché et de toute façon j’étais trop jeune pour m’en souvenir.
Je vais commencer au moment où ma vie est devenue l’enfer, mais d’abord je vais vous raconter ce qui s’est passé avant pour que vous puissiez comprendre mieux, ce qui se passa après ce jour, un jour maudit comme le dirais chacun. Je crois que ça étais la pire et la meilleur des rencontres, en effet comment un événement peut être le pire et le meilleur, la rencontre peut être merveilleuse mais engendré des conséquences irréversibles. Ce fut le cas pour moi. Je suis la fille de Yoko et Aki Natsumura ,je suis la cadette d’une famille de cinq enfants, ma sœur Miki est l’aînée, mon frère Jiro est le deuxième, mon frère Sabura le troisième et pour finir mon frère Shiro. C’étais ma famille il y a de cela 6 ans, j’avais alors 9 ans, ma sœur 18, mes frères 17, 15 , 14 et 12 ans. On vivait alors à Osaka, une des plus grande ville du japon avec Tokyo. Deux ans mois après mes parents ont divorcés, ils passaient leur temps à se disputé, j’étais encore jeune, je me rappelle ils se hurlaient dessus comme des animaux en cage, et à chaque fois je montais le plus vite dans ma chambre tout en bouchant mes oreilles, mais mes mains ne suffisaient pas à bloquer les horreurs qui parvenaient à se filtraient dans mes mains. Arrivais dans ma chambre je me mettais dans un coin en boule replier sur moi même, comme une bête piégé par un prédateur. Je faisais basculer ma tête en avant et en arrière tout en disant :
« Taisez vous, taisez vous, taisez vous » ,et sans m’en rendre compte des larmes venaient perlées au coins des mes yeux d’enfant, si je leur disait de se taire c’était pour étouffer leurs bruits d’animaux. Sans m’en rendre compte je criais des fois , et à ce moment la ma sœur venait et me donner autant de baffes pour me faire taire, mais plus elles en données ,plus je pleurais, elle le savait très bien, elle avait un comportement sadique envers moi. Quand elle me tapé ,elle me disait:
« Arrête de pleuré, tu n’as plus cinq ans, si tu contenue je te frapperais encore et toujours plus fort pour que tu te taises, tais toi! On dirait un petit chien galeux qu’on vient de trouver dans la rue ». C’étais ma grande sœur pour moi c’étais presque normal d’être maltraité par elle, c’était presque normal car elle ne touchait pas à un seul cheveux de mes frères, au contraire elle les couvrait de tendresse quand je la voyait, je me demander pourquoi je n’avais pas le droit à un peu de tendresse. Mes parents, ne disaient rien pour ce que faisait Miki, en faite ils ne voyaient rien, ils ne me voyaient pas. Ils portaient plus d’importance à l’urine de mon frère qu’a moi même. Comment être inférieur à de l’urine, je n’arrivais pas à comprendre. Mes frères, ne faisaient eux non plus attention à moi, ma sœur maltraitait mon corps, mes parents mon existence et que faisaient mes frères. Eux ils maltraitaient mon mental. Je me rappelle un matin, je m’habillais pour partir à l’école ,mes frères me sont tombés d’un coup, Jiro m’as dis:
« -Maintenant écoute moi bien, tu vas enlever ta culotte tout suite.
-Mais je peux pas aller à l’école sans culotte grand frère.
-Putin t’es sourde enlève la tout de suite ou je dirais à papa que tu lui as volé 1000 yens.
-Mais j’ai jamais fais ça.
-Moi si et dans la vie il faut bien une coupable, tu crois pas que je vais aller voir papa en lui disant que je lui ai piqué 1000 yens, bon tu veux pas, PA…
-Nan c’est bon je vais le faire.
-C’est que tu mouilles, ça t’existes. »
Mes autres frères rigolaient. Pour moi c’étais horrible, quand je suis sortis de la maison j’avais peur qu’il y est un coup de vent qui soulève ma jupe. J’ai passé une journée comme ça, angoissé, je m’en fermais dans les toilettes et je pleurais. Quand j’étais rentré le soir la torture n’était pas fini. Ils m’en fermais dans une de leur chambres. Mes parents étaient sortit faire les courses et ma sœur n’était pas encore rentrée de ses cours du soir. J’étais à leur merci. Ils m’obligeais à enlever mes vêtements pour me mettre nue. Je ne voulais pas, Shiro me donna une baffe et Sabura me tira mes cheveux comme si j’étais une poupée. Je me déshabillais devant eux, ils ont commencer à sortir le pénis de leurs pantalons. Je me rappellerais toujours de cette scène moi nue et eux mettant leurs mains sur leur pénis et faisant des vas et bien avec leurs mains. Jiro me demandait de m’asseoir et d’écarter les jambes, un liquide coula de mon intimité, je ne comprenais pas ce que c’étais, à la vue de ce liquide leur vas et viens ce faisait de plus en plus rapide. Ils se levaient tout les trois ensemble et leurs pénis me lança un liquide blanc, sur mon corps, moi j’étais très gênais, je ne savais pas ce que c’étais une éjaculation, je n’avais que neuf ans. Après cette douche de liquide blanc, ils m’ont mis un bandeau sur les yeux, je sentais quelque chose de dur touchait ma bouche, Shiro me demanda d’ouvrir la bouche, je refusais. Sabura me mis un doigt dans mon intimité, j’hurlais de douleur ça me faisais mal. Je n’avais pas le choix j’ouvris ma bouche comme si j’allais manger un gros gâteau à la crème. Shiro me disait de faire des vas et viens avec ma bouche, il me disait d’aller encore plus vite, il mettait ses mains sur ma tête pour me forcer à le faire. A un moment je sentais un liquide chaud dans ma bouche, je voulais le recracher mes Shiro me disait de l’avaler. J’ai du faire la même choses pour les deux autres animaux.
Après cela, ils partaient comme ci de rien n’était, en me laissant nue comme un bébé qui vient de naître, je pleurais, j’avais mal au cœur, je ne comprenais pas pourquoi on me faisais subir ça.
Personne ne s’en rendait compte, on aurais pu dire que j’étais morte, pour moi je l’étais.
Comme disait ma sœur, je suis un chien galeux errant dans les rues, mais même les chiens galeux trouvent un jour un être qui voudra bien d’eux.
J’attendais bien sagement que cet être apparaisse.

Maintenant vous savez un peu ma vie avant ce jour qui a changeras ma vie en bien et en mal. Comme je vous l’avez dit mes parents ont divorcé alors que j’étais âgé de 11 ans. Ma sœur et moi sommes restés avec notre mère alors que mes frères sont allés avec mon père. Mes parents ont vendu la maison, ma sœur et ma mère vivions dans un appartement, maman avait décidé de partir d’Osaka, c’est comme ça que nous sommes arrivés à Tokyo, c’étais la première fois que je venais ici. Nous vivions comme je le disais dans un appartement, il n’étais ni trop grand ,ni trop petit, c’était largement suffisant pour trois personne. Au bout de quatre mois ma mère rencontrait un homme, elle ne nous l’avait pas présenté, je les regardé par dessus la fenêtre s’embrasser devant la porte, il lui soulevait la jupe, il avait les mains baladeuses.
Deux semaines après on ne le voyait plus, ma mère ramenait beaucoup de petits amis à la maison. Je me rappelle elle me disait d’aller dormir même si ce n’étais pas l’heur, elle me disait de ne pas sortir de ma chambre de dormir et que si j’entendais des bruits ce n’était rien, que c’était la télé. Je faisait ce qu’elle me disait, je me souviens d’une nuit, j’entendais ma mère couiner et crier, le lit grincer, j’avais l’impression qu’il y avait un tremblement de terre, mais ce n’étais qu’un taureau sur une vache. Trente minutes plus tard ma mère sortait pour s’acheter des cigarettes, me laissant seul avec une bête. J’étais dans mon livre et j’attendais que le sommeil me gagne, j’entendais une porte s’ouvrir, c’étais la mienne, pourquoi une bête venait t-elle voir une souris. Je sentais une main, se poser sur mes cheveux elle me caressait les cheveux lentement. Puis elle descendait pour se glisser en dessous de mon pyjama, je n’osais pas protester de peur que le taureau fonce sur moi pour me donner des coups de cornes, ce ne fut pas des coups de cornes que je reçus mais un coup de corne. L’endroit où cette corne est venue transpercé me faisais horriblement mal. Je me débattais Comme je le pouvais, je voulais crier mais il m’interdisait de le faire, de plus je n’arrivais pas a crier tellement la peur m’avait paralysé. Il attachait des cordes a mes bras pour enfin les mettre à mon lit, il défait son pantalon, et commence à me déshabiller tout en me chantant une berceuse pour enfant. Il m’écartait les jambes, je ne pouvais résister à sa force, face au taureau la souris n’a de choix que de faire la morte et de laisser le taureau jouer avec elle jusqu’à temps qu’il s’en lasse et qu’elle puisse se sauver.
Il rentrait son pénis dur d’une rapidité dans mon intimité, il ne frappait pas à ma porte et entrait tout de suite, quand il entrait je poussais un cri, j’avais tellement mal, c’était une douleur incomparable pour une fillette de mon âge. Après être rentré en moi il décidait de faire comme chez lui, il rentrait, sortait, rentrait sortait. Il aimait beaucoup joué avec de les deux sonnettes, en effet il les tortillés dans tout les sens, en bas en haut, en haut en bas, gauche et droite, droite et gauche. Puis tout d’un coup , un robinet c’était ouvert, est ce fut l’inondation, j’étais toute mouillé, puis il sortais de moi sans même fermer cette porte qu’il avait ouvert, une porte qu’on ne pouvait plus jamais fermer. Il fut galant car il m’avait inondé et il commencer à enlever toute cette eau qui coulait, en effet il l’a bu comme si cette eau avait un goût particulier. Il me détachait et me donnait un baiser sur mon front, ce fut la dernière fois que je le vis.
A ce moment là je pensais à mes frères, ils me faisaient subir des choses comme cela , je pensais que seul mes frères pouvaient faire de telles choses, puis après ce que m’avais fait cet homme, je m’étais dit que si mes frères et cet homme faisaient ça alors les autres hommes aussi me le ferais.

A 12 ans ma mère décida de se remarier. Elle s’était mariée sans rien nous dire à ma sœur et moi. Je me rappelle encore du jour où je l’ai rencontré. Ils étaient rentrés de leur noce, il n’avait même pas fait attention à moi, comme pour mes parents, j’était également pour lui un simple meuble, sans vie, sans amour à recevoir, et puis qui aurait envie d’aimer un meuble.
Je baissa les yeux, je me fis morte, d’un simple geste il me caressa la joue. J’ai été surprise par sa main, à la fois froide par l’hivers et chaude par son cœur. Il se mit à ma hauteur, et me demanda pourquoi je faisait une telle tête. Un sourire se dessina sur ses lèvres, elles disaient tant de choses à la fois. Elles me disaient bonjour, tu es bien jeunes et autres sottises. Mais j’avais décidé de comprendre une seule phrases, cela était « ne sois pas triste et montre moi ton sourire, cher enfant de l’amour ».
Quelqu’un souffle sur des braises pour faire repartir un feu presque mort, cette personne c’est lui, et il venait de me donner un espoir. Tellement petit comme espoir mais tellement beau et inattendue ,qu’on ne veut plus le laisser partir mais grandir comme le feu.
Je restais figer sur place durant un long moment, tellement longtemps que les gens qui rentraient où sortaient de la maison me prenait pour un porte manteau.
Je venais de recevoir un électrochoc, c’était normal que je mette autant de temps à comprendre. La première marque d’affection qui me montra que j’existé bien.
Je sais bien j’en fait peut être trop, ce n’était qu’un simple sourire, une simple formule de politesse et rien d’autre.

Durant 3 ans, j’ai réappris à prendre goût à la vie. Je souriais, je riais, je chantais ,dansais. Je savourais le goût de la vie comme un vin dans la bouche.
Il y a 3 ans, je ne savais pas ce qu’était le mot bonheur et être aimé mais grâce à lui, je l’ai appris. Je ne voyais plus mes frères, ma sœur était parti avec son copain, ma mère ne faisait pas attention à moi et puis je ne l’a considéré plus comme ma mère mais comme une inconnue, il ne restait plus que lui, il ne restait plus que l’arbre et la terre.
Il a était tellement doux, gentil et chaleureux avec moi. Il consacrait tout son temps pour moi, je me rappel durant la période où les cerisiers sont en fleur, on étaient allés dans le parc. Le ciel était un bleu calme, et toutes les fleurs des cerisiers étaient comme une pluie de vœux. Quand j’était petite je pensais que les vœux des gens mettaient une année à parvenir aux cerisiers, le cerisier enfermait les vœux ,mais il mettait une année à tous les rassemblaient. Puis après son ami le vent venait puis soufflé doucement puis de plus en plus fort, pour que les pétales montent tout en haut du ciel. Dieu les pris puis fis mourir les fleurs, après tout il avait pris en lui les vœux c’était le plus important. Mais moi chaque année je pleurais pour ces petites fleurs qui avaient fait tant de choses et de chemins pour venir saluer dieu, je pleurais de les voir écrasées sans aucun respect. Que seraient les vœux des gens si elles n’étaient pas là.
En revenant avec lui voir les cerisiers en fleurs, je me mis tout de suite à pleurer des que le vent souffla sur les fleurs.
Il me demanda pourquoi je pleurais, qu’une grande fille comme moi n’avait pas à pleuré, c’est vrai j’avais 15 ans, à mon âge on ne pleure pas pour des fleurs envolées envolé dans le ciel.
« -Pourquoi pleures tu?
-Elles sont tellement gentilles, tellement douces et belles, et les gens les laissent mourir.
-Tu pleures donc pour les fleurs emportant les vœux des gens, elles en ont de la chance qu’une si jolie jeune fille pleure pour elle, elles qui sont oubliées de tous sauf de toi. »
A son dernier mot il me pris dans ses bras et me serra.

Ton histoire est très touchante. Aiko devient peu à peu un personnage attachant. par contre certaines personnes, mêmes les plus âgées, peuvent croire que tu t'amuse a écrire sa et défavorise la lecture. Sinon l'histoire est très bien par contre la suite, a mon avis, sera moins ... enfin tu comprend ?

oui je sais on m'a déja dit que j'était irrespectueuse envers les personnes violé,et que je devrais laisser ce gendre d'histoire aux grandes personnes et que je devrais écrire de belles histoire, oui elle est touchante c'est mon but,la suite ahah mystère et boules de gommes

Je n'ai mais dit qu'il fallait le laissé au grandes personnes, d'ailleurs il vaut mieux que sa soit un(e) jeune qui écrivent ceci, car cela fera passer un message a tous.

j'ai pas dit que c'était toi j'ai dis des personnes

Oui enfin bref, tu n'oubliera pas de mettre la suite de ton roman

lol oui mais j'ai trop de fin en tête,je sais plus quoi choisir

Une fin très triste serrai plus attendu ^^

ben au début j'avais prévu une fin triste,puis une idée complétement trash hard m'est venue mais bon ça fait trop fou mais j'ai trouver une fin

je trouve le ton assez juste. J'aurais peut-être parfois été un peu plus sobre dans les descriptions de ce que la jeune Aïko subit, mais après c'est le choix de l'auteur et je ne conteste rien du tout.

Il n'y a pas d'âge pour parler du viol. L'important est de toujours rester dans un esprit respectueux des victimes, et je trouve que tu l'as. Enfin chacun sent différemment les choses.

En tout cas, c'est du beau boulot qui a dû te demander du temps et de la réflexion ! Continue.

mdr mici mais ça m'a pris quelques minutes pour écrire les chapitres,ça me touche ce que tu dis

lui tend un mouchoir fleurant bon la rose

pas de quoi, voyons ! Il ne faut pas pleurer !

prend le mouchoir et se mouche

si c'est super sympa enfin bon soit on aime soit on déteste ou sinon on critique avec des arguments merdeux puis moi aprés j'ai envie de tuer tout le mondej(dis n'importe quoi je sais)

lol

c'est beau l'artiste qui défend corps et âme son oeuvre ^^

Chapitre 4


Un oiseaux mort vient de se tuer sur ma vitre, son sang coule sur le rebord de ma fenêtre laissant sa trace sur un mur transparent.
Pauvre oiseaux qui est mort, pauvre chose qui n’est comprise de personne.
Je ne t’enterre pas,je te remet là où tu étais et je te laisse mourir une deuxième fois.
Combien de temps un corps met-il à disparaître?
L’existence de ce corps met-il le même temps à disparaître que celui-ci?
Papa vient de mourir, il a eu un accident de voiture, d’après les médecins il avait trop bu, beaucoup trop bu.
Il a percuté une autre voiture, dans cette voiture ce trouvait un couple, la femme était enceinte de huit mois et demi, personne n’a survécu, le couple et leur enfant sont mort, la femme s’est retrouvé en dehors de la voiture. D’Après le rapport, elle allait accoucher c’est pour cela qu’ils étaient en voiture, c’était pour l’enfant, c’était pour lui faire respirer l’air impure et remplie de cruauté qu’est notre monde.
Je me dis que c’est bien mieux qu’il soit mort,qu’ils soient mort, les parents n’auront pas souffert de la perte de leur enfant et l’enfant n’aura pas à souffrir de la perte d’un parent.
Ils ne sauront pas qu’ils sont mort sauf le reste du monde et moi, mais le monde ne les connais pas et je ne les connais pas non plus,je ne sais rien de leur vie, peut être qu’eux aussi n’ont pas de famille ,peut être qu’eux aussi ils voulaient en avoir une.
Maman, mon beau père et moi sommes aller à son enterrement. Il ne le connaissait pas mais par politesse pour ma mère il est venu et l’accompagne jusqu’au bout dans sa joie masqué par une tristesse sans expression.
Tout les gens présent me regardent, leur regarde tente à me dire qu’ils éprouvent de la tristesse pour moi et qu’il compati de la grande perte que je viens de subir et de mon jeune âge.
Mais de quel perte peuvent-ils bien parler, vous le savez-vous? Savez-vous qui est dans ce cercueil?
Ah oui, c’est lui qui est dedans, je m’approche de la boite, je n’ai pas l’impression qu’il est mort,on dirait qu’il fait semblant pour fuir sa vie et ses responsabilités.
Pourquoi ne me regarde t-il pas, pourquoi m’ignores tu encore, pourquoi, même dans une boite où tout le monde te pleure sauf moi,tu trouves encore le courage de m’ignorait aux yeux de tous.
Quel drôle de courage cher père, quel drôle de tête tu fais, quel étrange enfant est au prés de toi.
Marche silencieuse, qui pourtant me laisse voir les paroles que se disent le gens à travers leurs yeux.
Et voila nous sommes arrivés dans ton nouveau chez toi, te plait-il?
Moi je dirais qu’il y a trop de terre et gens qui ne te méritent pas.
Des larmes coulent des joues, des larmes sans vie qui ne veulent rien exprimer et rien montrer.
On me regarde,  « -Pauvre petit que tu es courageuse de ne pas pleurer, mais pleure mon enfant, pleure ça fait du bien.
-Non madame je ne pleure pas et je ne pleurerais pas.
-Mais ton père te manque, alors pour…
-Non madame ce n’est pas parce qu’on pleure que la personne nous manque. »

cOmme je te l'ai dis sur msn, c'est trOp tOuchant ='(
J'adOre tOn histOire =)
Et vivement la suite ^^

je ne dis qu'une chose :


J'AIME

lol mici c'est gentil maintenent le chapitre 5 il est bizare j'avoue et on comprend pas tout mais que voulez vous j'aime quand on comprend pas du premier coup

Chapitre 5


C’est bon il est dedans, de la terre obscure comme son cœur le recouvre, ce n’est pas l’alcool qui l’a fais se tuer c’est lui-même.

Cher papa, qui n’a jamais su aimer personne ni toi-même, tu t’en vas, tu me laisses encore mais je pense qu’en te tuant tu me fais un cadeau celui de pouvoir complètement oublier celui de ne pas penser à qui me tiendra le bras à mon mariage pour me conduire à l’hôtel, je n’ai plus à te présenter mon futur mari.
Je n’ai plus à essayer de t’aimer et à me forcer. Tu es le premier poids qui s’en va de mon cœur.
Cela est étrange c’est comme quand vous dormez sur votre bras et quand au beau matin réveillé par une bande d’oiseaux inconscient qui ne comprennent pas que vous voulez dormir, vous ne sentez plus votre bras et peu à peu vous commencez à le sentir, à pouvoir le bouger.
Pour mon cœur c’est pareil, il avait réussi à dégager des petites pierres mais jamais les plus grosses.
Même mes torrents de larmes n’arrivaient pas à faire bouger ses pierres, que dis je, ce n’étaient plus des pierres mais au fil du temps des rochers et puis c’est devenus des montagnes, la douleur est elle que je ne sentais plus rien, je ne savais pas aimer.
Ces montagnes étaient comme une brûlures, si vous vous brûlez sur une petite surface de votre corps vous aurez mal mais si tout une grand surface est brûlé alors la vous ne sentez plus la douleur vous êtes comme anesthésié tellement cette douleur est intense.
Je brûler en enfer, tout mon âme brûler.
Pourquoi, pourquoi étais je punis ,pourquoi devais-je aller sur le bûcher.
Sorcière, sorcière ,j’entend qu’on cri mon nom, j’entend les pierres sur moi, j’entend la vie me parler mais je ne peux pas lui répondre.
J’ouvre mes yeux, ça me pique, je me souviens oui c’est la fumée, douce fumée, douceur envoûtante tu me bandes les yeux ,tu m’endors.
Ma tête ne tient plus en place, elle bascule en arrière, bonjour soleil et nuages, bonjour univers immense.
Je ne bouge plus, seule mes cheveux eux flottent dans le vent.
Je suis peut être morte qui sait, mais qui est mort? Mon âme, mon corps ou les deux?
Je ne sens plus l’odeur de la fumée, j’ouvre mes yeux, mon corps est toujours là.
Un petit vertige me prend, mon cors bascule en arrière dans un trou noir avec une petit boite, je tombe sans toucher le fond, des branches me tiennent et me ramènent.
J’ouvre les yeux pour la deuxième fois et je te vois. Tu me souris encore et toujours, si tu savais à quel point tu me donnes du bonheur dans cette grimace.
Je suis toujours dans tes bras, je suis déjà revenu à moi mais tu ne me lâches pas, pourquoi?
Je ne suis plus en danger pourquoi me protéger, je regarde devant moi.
Ça y est je ne te vois plus, sous mes pieds tu résides, sous mes poids tu demeureras, même si tu ne le veux pas ,tel en sera mon choix.

c'est si triste et si beau a la fois....tu ecris drolement bien Sayuri_san

oui j'aime quqnd c'est triste limite qui fait pleurer,je sais ce qu'il y aura dans le prochain chapitre niark niark

j'ai hâte de le lire^^

Chapitre 6

Comment réagirez vous si un jour vous apprenez qu’une personne n’est pas celui auquel vous pensez qu’il était.
Comment vivrez vous avec cette personne en sachant qu’elle en est une autre.
Est-ce que son nouveau statut fait qu’elle est quelqu‘un d’autre,sa relation doit elle changer, changer avec moi?
Pour moi seul deux choses peuvent donner la réponse lui et moi,le fruit de l’arbre.
Je crois que je m’enivre de lui, non ce n’est pas son parfum c’est son être.
Le matin est là, je crois être plus légerte avec un poids en moins.
J’ouvre mes yeux un par un, et il est encore là, il attendait mon réveil un peu comme la belle au bois dormant, tu es mon sauveur,peut être mon prince charmant.
Comme sa princesse tu me portes dans tes bras et m’emmène en bas, délicatement tu me poses sur une chaise étant dans une pièce baignant de la lumière du matin.
En face de moi tu te mets pour ne pas m’oublier.
Puis la lune est entrée est a caché,gâché notre joie, telle en était sa loi.
De sa froideur elle est venu t’arracher,couvrir c’est ce qu’elle faisait ,sourire pour être puni elle me le disait et je me taisais.
Pièce d’à côtè dissimulé,je ne te vois plus où et tu? Je l’entend qui braille, j’entend le bruit sourd des objets tombant sur le tapis tachait de lait.
Non,Est-ce possible ce n’est pas elle mais lui,oui c’est lui que j’entend, la lune c’est mise sur le soleil et ils ne font plus qu’un.
« -Comment,comment peux tu me dires ça, comment expliquer,ce n’est pas possible,ce n’est pas possible.
C’est un mensonge,une légende,un canular, mais non c’est seulement ta fantaisie que tu me dévoiles.
Cela t’amuses donc de te jouer des gens,de leur cacher la vérité, de les anéantir. »
Un silence et un bruit d’eau sur le parquet, de la pluie, il pleut de l’eau dans la pièce.
L’éclipse se termine,la porte s’ouvre et je le revoie, mais il porte un masque vide, que dois je comprendre.
« -Je…
-Non ne me parle pas,ne me parle plus,je ne te connais pas,je ne t’aime pas, je ne sais pas qui tu es mais seulement d’où tu viens. »
Courir vers la porte c’est tout ce qu’il a su faire. La porte est encore ouvert, et c’est pour la première fois que je vois sa vérité.
Genoux par terre,tête dans le vide fixant le néant de l’univers en cherchant son soleil parti et qu’elle ne verra plus.
Les cheveux défait,avec un mascara pas assez résistant aux larmes,bouche mal dessiné avec un rouge à lèvre décoloré telle je la voyais.
Mais ce n’étaient pas de fausses larme, elles étaient tristes et misérables comme moi.
Je la contempler se vautré sur le sol pleurant et suppliant, suppliant quoi ou je ne sais qui, je me retourna pour ne pas assister à ce spectacle.
Qu’avait elle pu dire pour le mettre dans un tel état,que lui avait elle murmurait pour qu’il ne m’aime pas, qu’elle horrible vérité lui balança-t-elle en pleins visage.
Et à mon tour je me mis à pleurer et à me rendre compte,il avait franchis la porte et m’avais laisser,pourquoi es tu partis gentil chevalier, je suis toute seule dans mon château et je me fais manger le cœur par une marâtre. S’il te plait reviens,reviens, je ne suis qu’une enfant ne me punie pas, ne me punie pas.
Je suffoque tellement je pleure, tellement je me vide de mon eau.
Je monte,je cours sur les marches d’escaliers, je l’impression d’être pourchasser comme dans mon enfance.
La porte est déjà ouverte comme si elle avait prévu ce qu’il allait ce passer avant même que cela soit.
Je me met dans un coins pour pleurer en paix pour mourir en paix,oui je vous le dis je meurs de chagrin.
En boule et me balançant je suis en ce moment,de remords ,de question viennent me perturber des maintenant.
Cette scène dura pour moi une éternité,l’infinie lui-même ne serait contenir ceci.
J’entend un bruit, j’ai peur,le sais tu que j’ai peur j’en tremble.
Me donne tu le courages de lever ma tête pour apercevoir le reste.
Doucement ma tête ce relève, dans ma chambre tu es, accroupis tu te met.
Regardes moi pour toujours, ne me rejette pas.
« -Pardon mais je dois te dire… »
A peine le temps de le dire et surviens la maratre.
Que vas t’il me dire,une vérité, la vérité peut être.